Quel est le point commun entre Phileas Fogg, un chevalier maladroit de la Renaissance et…
[Si je t’attrape …] A mourir de rire !
Si je t’attrape, je te mort ! Oui, bon, encore un titre avec une faute…
« Frontières » sans limites à NAVA
Le festival NAVA (Nouveaux Auteurs dans la Vallée de l’Aude) est un monde dans…
Hamlet Rock’n’Trash
Mélangez un crucifix à un préfabriqué, une enseigne lumineuse et quelques machines à café. Ajoutez-y…
Un vivant « Suicidé » au 65ème festival d’Avignon
Le Suicidé est une pièce de Nicolaï Erdman écrite en 1928, puis censurée par le…
Printemps des Comédiens – Slava's Snowshow
Slava Polunin est habituellement un maître en matière de merveilleux. Il s’est illustré avec des…
À mon âge, je me cache encore…
Un hammam à Alger. Neuf femmes sont là pour la toilette rituelle, mais surtout, s'y retrouvent pour parler. Échanger leurs peurs, leurs rêves, leurs fantasmes, nous avouer leurs limites. Celles que l'on leur impose et qu'elles choisissent de faire leurs ou de se construire contre. Évoquer leur quotidien envahi par les hommes… Doux, aimants, brutes, jaloux, absents, violents.
Henri IV, la dérangeante modernité d'un souverain
Il était une fois un Roi de France. Un bon Roi de France. Moins pire que les autres en tout cas. Le Bien Aimé, comme il aimait à se faire appeler. Un Roi de France capable, par ses seules paroles, par un unique écrit, d'instaurer la paix religieuse en son royaume. Mais aussi, plus tard, la guerre en Europe. Henri le Quatrième. Henri IV, le Bien Aimé.